lundi 5 décembre 2011

Rapport entre dévaluation monétaire et sous développement : commentaire sur fond de l'article du Dr. Gary K. Busch


Le sous développement n'est qu'une conséquence de la structure des échanges économiques mondiales telles qu'elles demeurent depuis la nuit des temps à nos jours. Le dévaluation en est le dernier recours pour maintenir ce système pervers. Une telle mesure n'est guère étonnant face en ces temps singulièrement marqués par l"hypocrisie des premiers acteurs de l'économie mondiale. c'est une des dernière recours de l'occident face à l'austérité économique. On comprend mieux cela si l'on part du fait de l'écroulement des économies de bien des pays occidentaux tels l'Irlande, la Grèce, le Portugal, l'Espagne et la rance ne se portant pas si bien que l'on peut le croire. Aux Etats-unis pas moins de cinq Etats sont en cessation de paiements de leurs fonctionnaires et ont réduit leur prise en charge des services publics dans certains zones. Il s'agit de situations dont il y'a peu , se retrouvaient uniquement dans les pays pauvres. Elles s'accompagnent forcement d'une forte hausse de l'endettement et d'une perte de souveraineté financier mais aussi politique comme on l'a particulièrement observé pour la Grèce. Certains économistes et politologues ont du mal à concevoir que des pays occidentales soient contraint de se soumettre à des programmes de références du FMI et d'autres obligations en matière de politique économique au même titre que les Etats du tiers monde. C'est donc sur fond de cette situation que l'on comprend le recours du "cannibalisme" à savoir la dévaluation. C'est une des indicateurs de la faiblesse des grands décideurs politiques de chaque époque. Il s'agit de renier toutes les grandes idées qui sous tendent la lutte contre la précarité à l'échelle mondiale, en recherchant l'équilibre par le bas et non par le haut. La dévaluation devient alors une mesure radicale qui permet à l'occident de reprendre la main sur l'économie mondiale qui de plus en plus échappe à leur contrôle, particulièrement avec la montée figurante de la chine et d'autres pays jadis qui, il y'a peu étaient classés parmi les pays du "tiers monde". Si ça devait se faire, l’occident pourra souffler un peu en recreusant la fossé entre le monde industrialisé et le "tiers monde". C'est encore une fois l'anéantissement de tous les efforts des pays pays pauvres particulièrement en terme de compétitivité et de pouvoir d'achat. En somme c'est "l'ouverture d'une nouvelle ère d’acquisitions à moindre coût des matières premiers sur les marchés du sud.


Lien de l'article du Dr Gary : http://sosdemocratiecomores.skyrock.com/3049263017-AFRIQUE-FRANCEAFRIQUE-AFRIQUE-VIOL-CONSENSUEL-DANS-LA-ZONE-CFA.html