« Le Président de l’Union des Comores a figuré parmi les Chefs d’Etat qui ont pris la parole à la 66eme session de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York. Ikililou Dhoinine évoque plusieurs sujets parmi lesquels les revendications de son pays sur l’ile de Mayotte,… ».
Tel est le premier paragraphe d’un article publié par la radio de nations unies à propos du discours du Président Ikililou devant les tribunes de s nations unies. Par la suite, cet article signé par une certaine Florence Westergard s’est lancée dans un effort de présentation Géographie des quatre iles des Comores en termes d’archipel et en prenant soins de préciser le nom colonial suivi entre parenthèse du Nom Comorien (originel) de chaque île, sauf curieusement pour Maoré (Mayotte). On peut tout de même ne pas la reprocher cet oubli car les humains ne grandissent pas comme les poissons. D’autant plus qu’elle s’est rappelée du Capital de ces quatre îles à savoir Moroni. Malgré la distance qui sépare New York à Moroni, la rédactrice de cet article s’est aussi rappelée que depuis 2002, suite à des nombreuses tentatives de déstabilisations, l’un des membres présumés d’Al QUAIDA qui a été aidé par la France en 2008, pour se substituer à la justice comorienne, a sur ordre direct réussit à faire changer le nom officiel de l’Etat Comorien en Union des Comores. Par contre, elle a oublié que Maoré comme elle l’a écrit au départ c’est une des iles des Comores et que comme on le sait tous (sauf elle peut être), un Etat qui change de nom ne veut pas dire un nouvel Etat. Ni sur le plan juridique ni sur le plan diplomatique. Donc pour une personne de son expérience de son rang, c’est assez curieux d’écrire un article aussi partisan en plus sur radio des Nations Unies. Nations Unies qui jusqu’à l’heure actuelle sont plus préoccupées par les 180 millions d’euros qu’elles reçoivent de laa France à chaque 2ème année, plutôt que de faire respecter ses résolutions n°3385 du 12 novembre 1975 relative à l’admission des Comores a l’organisation des Nations Unies et n°31/4 du 18 octobre 1976 relative à la question de l’ile comorienne de Mayotte.
C’est bien dommage de voir un tel article sur radio des nations unies mais aussi très révélateur. A croire que les Nations Unies ont changé de buts et que l’histoire n’a servit à rien pour l’humanité. Il y’a des causes qui n’ont qu’un seul issu tel : le racisme fini toujours par flanché au même titre que l’occupation illégale d'une partie du territoire d'un Etat "souverain". A croire que les hommes oublient parfois que ce qu’on a codifié en termes de droit n’est rien d’autres que la conviction générale de ce qui est juste selon l’entendement humain et la préservation de la vie.
Les maorés ne sont propriétaires de la terre qu’ils habitent que s’ils sont comoriens. Du moment qu’un habitant de cette ile se dit ne pas être comorien, alors il n’a aucun droit sur la terre comorienne de mahorais. A moins qu’un referendum organisé par l’Etat comorien à Marseille pour demander aux Marseillais s’ils veulent être Comorien ou français aurait un sens (aberration). Si c’était vraiment une question de droit alors comment se fait-il que l’Etat français ne reconnaisse pas l’indépendance de la Corse, alors qu'il ne se passe une année sans que les indépendantistes majoritaire, ne brandissent "macabrement" les armes ?
Les maorés ne sont propriétaires de la terre qu’ils habitent que s’ils sont comoriens. Du moment qu’un habitant de cette ile se dit ne pas être comorien, alors il n’a aucun droit sur la terre comorienne de mahorais. A moins qu’un referendum organisé par l’Etat comorien à Marseille pour demander aux Marseillais s’ils veulent être Comorien ou français aurait un sens (aberration). Si c’était vraiment une question de droit alors comment se fait-il que l’Etat français ne reconnaisse pas l’indépendance de la Corse, alors qu'il ne se passe une année sans que les indépendantistes majoritaire, ne brandissent "macabrement" les armes ?